Notre article, intitulé « Une commune tranquille ? Pas si sûr(e)... » (11.12.2009) constatait que les pages du journal local « Var Matin » étaient amenées à relater des actes de vandalismes survenus dans l’une ou l’autre des communes varoises. Au vu de cette information, nous pouvions en déduire que notre commune de Trans semblait échapper à ces actes, nous apportions, alors, un démenti, en relatant l’incendie de trois véhicules devant le centre de loisirs.
Depuis la presse n’a signalé aucun fait similaire pourtant reproduit depuis. Nous savons qu’il n’est pas politiquement correct de comptabiliser les véhicules incendiés ou vandalisés, mais il ne faudrait pas donner l’impression que notre commune, comme par miracle, échappe à ce fléau moderne.
Ainsi samedi matin (18 mars) certains matinaux ont pu voir le triste spectacle de trois véhicules en train de brûler sur la place de l’Hôtel de ville. Mais là, comme en 2009, les services municipaux ont fait diligence pour faire disparaître les épaves.
La presse a-t-elle fait état de ces incendies ? Il semble que non. Pourquoi ?
Malheureusement, il ne s’agit pas de faits exceptionnels, notre commune est aussi soumise à des vols, ainsi récemment, huit villas ont été cambriolées dans la même journée.
Tous ces faits sont regrettables, mais démontrent que notre commune n’est pas aussi sûre qu’on pourrait le croire. Sans vouloir « ajouter de l’huile sur le feu », il nous semble que ce manque de communication sur certains faits risque d’entraîner un manque de vigilance de la part les habitants de Trans qui se croyant dans un havre de paix, pourraient ne pas prendre certaines précautions qui paraîtraient s’avérer pourtant nécessaires.