Site audit, Site au faite.

A travers de trop nombreux articles,  nous avions été plutôt critiques lors des premières tentatives de création du site officiel, des coûts engendrés, puis de sa mise en place qui fut pour le moins laborieuse. Il était temps, car Trans en Provence était une des dernières communes de la communauté d’agglomération à ne pas être dotée d’un site internet. A tel point que l’existence du site officiel de Trans en Provence n’est toujours pas signalé sur le site de la CAD* !

*         Voir description individuelle des communes.

Encore l’année dernière, après la rupture de contrat avec le SICTIAM (Syndicat Intercommunal des Collectivités Territoriales Informatisées Alpes Méditerranée) que, par ailleurs, l’on pouvait regretter pour les progrès d’informatisation et de mise en place de systèmes d’information qui pouvaient en être attendus, le site a connu quelques problèmes lors de sa reprise en main par un nouveau gestionnaire. Chacun avait alors pu remarquer le grand nombre de liens rompus qui ne menaient plus à rien et des diaporamas devenus inertes.

Aujourd’hui, il faut reconnaître que le site tourne bien, qu’il reste réactif et attrayant et qu’il est devenu un outil de communication indispensable à la fois aux services municipaux, mais aussi aux transians, enfin à ceux qui sont équipés et se connectent.  

 Il est le moyen d’assurer une information sur les initiatives et l’organisation des diverses manifestations d’animations festives et/ou culturelles, mais il est aussi un moyen d’informer rapidement sur les directives et prescription administratives telles que celle qui récemment faisait part de l’interdiction exceptionnelle de brûler des végétaux ou d’allumer des feux, sur l’organisation de réunions publiques comme les conseils municipaux et celles relatives au plan local d’urbanisme.

Chacun des adjoints peut y faire figurer l’actualité de son activité et des progrès obtenus. On notera d’ailleurs la richesse des informations  offertes dans les rubriques « Services techniques » et « Urbanisme ».

Ce site comporte encore une marge de progrès que nous avions signalée ; il n’offre pas encore la possibilité aux Transians de s’exprimer, d’y déposer de manière ouverte et publique leurs suggestions, de faire connaître leur besoins ou leur insatisfaction, d’émettre à la fois des idées mais aussi des critiques. Bien entendu, ce type d’accès pourrait être modéré afin d’éviter dérapages ou excès. Une ouverture vers la démarche participative.

Ce site ouvre également ses pages à des organismes qui ne sont pas strictement municipaux, tels le CCAS bien qu’il en dépende financièrement de manière non négligeable, mais surtout au SIAN ( Syndicat Intercommunal d’Aménagement de la  Nartuby) qui est un organisme aussi hébergé dans les locaux municipaux, mais à titre onéreux. On pouvait penser que cet hébergement informatique était conjoncturel et ne saurait durer. Le SIAN ne devrait-il pas mettre un point d’honneur à mettre en place son propre site afin de pouvoir acquérir une plus grande fluidité d’ une information plus complète (mise en ligne des expertises dont elle est propriétaire, du contrat rivière, etc…) et plus régulièrement actualisée (planning et avancement des travaux), destinée à l’ensemble des communes adhérentes et surtout à leurs résidents ?