Les pages du journal local « Var Matin » sont amenées à relater des actes de vandalisme fréquents survenus dans l’une ou l’autre des communes varoises.
En lisant cette presse, on pourrait croire que Trans en Provence n’est pas concernée, puisque aucun de tels actes n’y est rapporté.
Les matinaux de ce dernier dimanche matin ont pu voir une réelle scène de désolation, avec trois véhicules détruits par le feu, avenue de Beaulieu, devant le Centre de Loisirs. Pour les « lèves plus tard », ils ont échappé à cette vision cauchemardesque de carcasses carbonisées. Car grâce à la diligence du maire, celles-ci ont été enlevés avant 11 h. Ils ont quand même compris qu’il s’était passé quelque chose d’anormal, constatant l’état de la chaussée et les odeurs qui émanaient de cet endroit.
Renseignements pris, nous apportons les précisions suivantes : ce dimanche matin vers 5 h deux véhicules ont été fracturés dans la même zone (avenue des cascades et place de l’Ayrou), un troisième a été incendié en face du centre de loisirs (avenue de Beaulieu) et le feu s’est communiqué aux deux véhicules voisins.
Déjà, notre blog confrère de Draguignan «Le Gratte-cul » faisait état, vers fin novembre, de la présence d’un véhicule calciné sur la RN 555, avant le Rond Point des Danseurs. [lire l’article]
Nous réprouvons fermement ces actes gratuits de vandalisme. Mais pourquoi ces faits sont-ils occultés ? La population transianne a besoin de savoir ce qui se passe dans la commune : les évènements heureux, mais aussi ceux qui dérangent.