/fdata%2F1380966%2Favatar-blog-1052537717-tmpphpbAUnFf.jpg){kind=avatar}
Le chemin des Bois Routs va bientôt s’enrichir d’un abri «maçonné» d’accueil des containers à ordures ménagères. Ceux-ci seront plus stables, notamment par grand vent et ne risqueront plus de se retrouver chez le propriétaire riverain dont le terrain se trouve en contre-pas.
Par contre, on peut s’interroger sur l’emplacement choisi, puisque cette propriété ainsi que celles qui suivent au-delà du récent lotissement font l’objet d’un alignement permettant d’élargir le chemin.
 |  |
En effet, la première partie du chemin des Bois Routs a été élargie, il y a quelques années, et ces travaux n’ont pas été poursuivis faute d’un financement suffisant. Cet élargissement aboutit au début de la propriété concernée. A l’autre extrémité de celle-ci, à l’occasion de la réalisation du lotissement précité, le lotisseur a procédé à ses frais à un élargissement équivalent sur toute la partie riveraine de son terrain.
Compte –tenu de ce que le chemin des Bois Routs est sur, sa presque totalité, en zone urbaine (UC), on peut penser que la mise au même gabarit de largeur restait à réaliser dès que des finances sont disponibles et affectables à cette réalisation. Au moins, dans un premier temps, sur la longueur de cette propriété qui représente un étranglement dommageable à une circulation dans les deux sens. Comme d’ailleurs, certaines entrées de propriétés dont le positionnement n’a pas vraiment tenu compte de l’alignement, positionnement qui aurait pu, au moins, être optimisé pour ne pas entraver une circulation normale.
Ces travaux d’élargissement de cette voie seront nécessairement à réaliser un jour plus ou moins proche. Dans ce cas, pourquoi construire une aire d’accueil des containers à ordures ménagères qui devra probablement être détruite ?
Puisque le sujet concerne aussi les containers de déchets, pourquoi ne pas prévoir deux containers dédiés aux déchets recyclables, l’un pour les emballages et les plastiques, l’autre pour les papiers et les journaux, à la place de deux des containers à ordures ménagères qui sont en nombre apparemment excessif pour le quartier. Ceci pour éviter d’aller effectuer ces dépôts au plus près, c’est à dire à une distance proche du kilomètre.